Philippe de Villiers, candidat du Mouvement pour la France (MPF), a accusé mercredi des "bandes ethniques" et "des barbares" d'être responsables des affrontements de la gare du Nord et il a dénoncé "le laxisme généralisé" de l'Etat.
Parlant sur RMC et BFM-TV de "guerilla urbaine", Philippe de Villiers a apporté son soutien aux "policiers français qui sont admirables de civisme, de retenue, de prudence, et qui assistent tous les jours à toutes sortes de provocations".
"La société a tourné du côté des malfrats. Des bandes ethniques sont installées sur notre territoire et considèrent que même la gare du Nord, c'est leur territoire", a-t-il accusé. "Voilà le résultat de l'immigration incontrôlée".
Selon le président du MPF, "des bandes organisées ont décidé de se faire du flic, et face à cela, il n'y a plus d'autorité de l'Etat, il y a un laxisme généralisé".
Philippe de Villiers a réclamé que soient rétablies "la double peine pour les étrangers délinquants", "la loi anti-casseurs" et que soient "traqués les vingt meneurs par quartiers".
Il a demandé aussi qu'on "respecte les policiers". "Il faut être du côté de l'autorité de l'Etat, pas du côté des barbares".
Il estimé que la politique menée par Nicolas Sarkozy à l'Intérieur n'était que "verbale". "C'est une toupie qui fait de la gonflette", a-t-il affirmé.
Pour M. de Villiers, "il y a 800 cités interdites, où on nous recommande, à nous les candidats, de ne pas aller".
Parlant sur RMC et BFM-TV de "guerilla urbaine", Philippe de Villiers a apporté son soutien aux "policiers français qui sont admirables de civisme, de retenue, de prudence, et qui assistent tous les jours à toutes sortes de provocations".
"La société a tourné du côté des malfrats. Des bandes ethniques sont installées sur notre territoire et considèrent que même la gare du Nord, c'est leur territoire", a-t-il accusé. "Voilà le résultat de l'immigration incontrôlée".
Selon le président du MPF, "des bandes organisées ont décidé de se faire du flic, et face à cela, il n'y a plus d'autorité de l'Etat, il y a un laxisme généralisé".
Philippe de Villiers a réclamé que soient rétablies "la double peine pour les étrangers délinquants", "la loi anti-casseurs" et que soient "traqués les vingt meneurs par quartiers".
Il a demandé aussi qu'on "respecte les policiers". "Il faut être du côté de l'autorité de l'Etat, pas du côté des barbares".
Il estimé que la politique menée par Nicolas Sarkozy à l'Intérieur n'était que "verbale". "C'est une toupie qui fait de la gonflette", a-t-il affirmé.
Pour M. de Villiers, "il y a 800 cités interdites, où on nous recommande, à nous les candidats, de ne pas aller".
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