source : http://jeunesetpatriotes.blogspot.com/
samedi 3 mars 2007
Philippe de Villiers répond aux Français sur TF1
Gauche caviar et carte scolaire
Homosexualité et "homoparentalité", les études existent ...
Un des leitmotiv des opposants à la famille traditionnelle est qu'il n'existe pas d'études montrant le caractère instable des couples homosexuels, leurs carences susceptibles de limiter leur capacité d'éduquer convenablement un enfant, ou l'impact psychologique de l'absence d'un père ou d'une mère, voire des deux, dans le développement de l'enfant.
Evidemment ces études existent, elles sont nombreuses, peu sont d'origine française, mais on ne s'en étonnera pas. Un parallèle instructif peut être établi avec le thème des effets du cannabis au volant, et son rôle dans les accidents graves de la circulation. Des études sur ce sujet existaient depuis plusieurs décennies, en particulier aux Etats-Unis, mais il a fallu attendre 2001 pour que les médias français daignent en parler. Auparavant c'était un défilé permanent de médecins à la solde du lobby cannabique et prétendant que le joint n'avait pas de conséquences négatives notables.
Sur l'homoparentalité donc, les études existent et sont nombreuses, elles sont simplement tabous en France. La liste ci-jointe a été établie par le collectif espagnol anti-lobby gay qui s'est constitué pour affronter les projets néfastes du gouvernement Zapa sur ce plan. Il s'agit d'études strictement scientifiques publiées dans les plus grandes revues internationales. Leurs points de vue sont divers, mais la majorité établissent des différences fondamentales entrent les couples hétéros et les "couples" homos.
En Espagne, ces études n'ont malheureusement pas pesé sur un débat ... qui n'a pas eu lieu, étant détourné par des médias à la solde du lobby gay et du Parti Socialiste, jouant sur un faux concept d'égalité, et sur la sensiblerie à grand renfort de reportages montrant tel sympathique petit couple homo privé d'enfant, mais sans jamais réfléchir plus loin que le bout de son nez aux conséquences de telles revendications.
Source: leconservateur.blogmilitant.com
Liste des études: ici
Les maires ruraux soutiennent Philippe de Villiers
«Élu local, représentant de la France rurale, Philippe de Villiers est le premier défenseur de la liberté communale: ses propositions en faveur du maintien des services publics ou sa position pour une intercommunalité renouvelée, sous la forme d’une coopération souple entre les communes, en font le seul porte-parole des maires ruraux. En Poitou-Charentes, Ségolène Royal est en train d’organiser la disparition progressive des collectivités de proximité, en concentrant le maximum de pouvoirs au sein du conseil régional: avec Philippe de Villiers, je souhaite que les maires retrouvent les moyens d’agir… qu’on ne cesse de leur retirer.»
«Département côtier, le Morbihan est, comme la Vendée, la cible des navires-poubelles et des marées noires. Lors du naufrage de l’Erika, puis de celui du Prestige, la gestion de la crise orchestrée par Philippe de Villiers a été regardée dans tout l’Ouest comme un exemple: mise en place de brigades bénévoles de nettoyage des plages, mise au point de chaluts de conception vendéenne pour contenir et récupérer le pétrole déversé. Philippe de Villiers a été le premier à réagir, et tout ce qui a été fait sur
source: semeursdavenir.hautetfort.com
Villiers : dénoncer l'islamisme c'est protéger les musulmans modérés
La Croix , entretien avec Philippe de Villiers
Date de parution : mercredi 28 février 2007
« La France est en train de devenir une société multiculturelle avec le risque de devenir multiconflictuelle ».
Quelle est votre conception de la place des religions dans la société ?
Il faut concilier deux principes sans sacrifier le second au premier. Il y a la liberté de conscience qui veut que chaque croyant, quelle que soit sa religion, soit respecté par la sphère publique. Mais je regrette que l'on néglige trop souvent la tradition d'un pays comme la France. On admet que la Turquie soit regardée comme un pays musulman mais on n'ose plus dire que la France est un pays judéo-chrétien. La place du christianisme doit être à la mesure de ce qu'il a fondé dans les principes de notre édifice juridique et éthique, qu'il s'agisse de notre conception de l'être humain ou de la famille.
Comment concilier cette "tradition" avec le respect de la laïcité?
La laïcité que je défends instaure une séparation du spirituel et du temporel. Ce qui ne signifie pas que les deux sphères doivent être étanches. Il serait absurde de réduire la religion à un espace privé sans influence sur la société. Ce serait nier le rôle de la doctrine sociale de l'Église qui, d'encycliques en encycliques, a porté un certain nombre de messages. Les parlementaires vont avoir à débattre bientôt de la bioéthique et du clonage. Il est important que sur ces questions, il y ait une parole publique de tous ceux qui ont une conception métapolitique de l'homme. Notre société, depuis mai 68, essaie de vivre dans une post-modernité en se coupant de ses valeurs fondamentales. Que sera demain la France avec une dérive eugéniste et qui accepte une équidistance sociale entre hétérosexualité et homosexualité ?
La "tradition" chrétienne" doit-elle pour autant avoir une place prépondérante ?
Il suffit de se souvenir de ce qu'ont été les funérailles de l'abbé Pierre ou des drapeaux en berne à la mort de Jean-Paul II pour le mesurer. Mais la France est en train de devenir une société multiculturelle avec le risque de devenir multiconflictuelle. L'idée de vouloir greffer des cultures extérieures pour construire une juxtaposition d'alvéoles culturelles et une addition de mémoires particulières porte un risque pour la paix civile.
Vous redoutez une dérive communautariste?
Elle existe déjà et produit des effets visibles. La République recule partout où le communautarisme avance : dans les quartiers, dans les hôpitaux où des médecins se font agresser, et même à l'école. Notre devoir, c'est d'imposer des modes de vie compatibles avec notre corpus juridique et éthique si l'on ne veut pas demain accepter la répudiation, l'excision, ou la lapidation.
Ce qui va jusqu'à interdire le port du voile islamique ?
Le voile devrait être interdit dans tous les espaces publics. Ce n'est pas simplement un colifichet, cela n'a rien à voir avec la croix ou la kippa. C'est un instrument de soumission de la femme et d'insoumission aux lois de la République. Et une arme pour certains groupes politico-religieux dans la pénétration de notre territoire.
Le risque de ce discours n'est-il pas d'assimiler islam et islamisme et d'exclure ainsi du même coup les musulmans modérés?
Bien au contraire, dénoncer l'islamisme, c'est protéger ceux qui en sont les premières victimes, c'est-à-dire les musulmans modérés.
Le message des évêques à l'occasion des élections "Qu'as-tu fait de ton frère?" incite cependant au respect de la différence et à la fraternité…
L'ordre de la charité ne s'oppose pas à l'ordre du politique. Faut-il pour cela adopter la conception de la famille de l'islam ? C'est à l'islam de s'adapter à la France, pas le contraire. Cela suppose un effort personnel de chaque musulman pour amputer une partie - la partie politique - de sa religion. Le grand problème de l'islam, qu'on assimile à tort aux autres religions, c'est qu'il ne reconnaît pas la séparation du temporel et du spirituel. Ses trois principes fondateurs, le djihad, qui s'entend comme un prosélytisme aux formes diverses ; l'oumma qui consacre la suprématie de la communauté des croyants ; et la charia, la loi islamique, font que celui qui veut appliquer les lois républicaines doit se dépouiller d'une partie de son identité.
Doit-on pour autant refuser aux musulmans la construction de lieux de culte ?
Je souhaite une charte pour la construction des mosquées afin d'édicter des règles permettant de concilier la pratique religieuse des musulmans et le respect de nos modes de vie. Il y en a cinq : le respect de l'égalité hommes-femmes, l'interdiction dans l'enseignement de la polygamie et du mariage forcé, le respect de la liberté de changer de religion et l'interdiction de tout financement étranger.
Faut-il faire évoluer la loi de 1905 pour permettre une part de financement public ?
Je suis contre toutes subventions directes ou indirectes à la construction de mosquées. Elles doivent être financées comme le sont aujourd'hui les nouvelles églises et les nouvelles synagogues, c'est-à-dire par les dons des fidèles.
Reconnaissez-vous le Conseil français du culte musulman comme une instance de dialogue légitime ?
Non, car ce n'est pas à l'État d'organiser le fait religieux. C'est encore plus vrai à l'égard d'une religion où il y a mille sensibilités différentes. Vouloir organiser un islam de France, c'est encourager l'islamisme à travers l'UOIF (NDLR : Union des organisations islamiques de France), proche des Frères musulmans, et c'est exactement ce qui s'est passé. On a institué un organisme politico-religieux, financé par des pays étrangers qui sont en concurrence les uns avec les autres. Le CFCM est devenu un État dans l'État qui cherche à peser sur la vie publique à partir de la foi des pays d'origine. Nous sommes là dans une dérive, preuve que nos politiciens sont incultes et irréfléchis.
source: gaullistedegauche
Philippe de Villiers réagit au plan de restructuration d’Airbus.
1° l’insupportable coût de l’euro face au dollar qui contraint Airbus à délocaliser une partie toujours plus grande de sa production en dehors de la zone euro. Les solutions sont connues : il s’agit en particulier de donner aux politiques le pouvoir nécessaire et indispensable d’influence sur la Banque Centrale Européenne.
2° la binationalité ne fonctionne pas, là comme ailleurs. La société Airbus est gérée selon des critères politiques et non pas comme une entreprise. En clair, il faut mettre un terme au dogme du 50-50 franco-allemand à cette direction bicéphale qui conduit inéluctablement à la déroute économique. La France a amené son savoir faire dans le domaine de l’aéronautique, la France a financé l’essentiel du développement de la structure industrielle airbus. Jacques Chirac en bradant nos intérêts économiques a privé l’entreprise d’une direction claire. Airbus doit rester à majorité française.
source: gaullistedegauche
3° comme la plupart des entreprises de taille mondiale qui luttent avec des entreprises américaines dans des domaine civilo militaire, Airbus ne bénéficie pas du soutien des budgets de Recherche et développement des états européens. Il est indispensable de mettre en œuvre une préférence communautaire instituant une clause de solidarité commerciale sur le modèle du Buy American Act.
Sarkozy flingue Vanneste et se couche devant Act-up
Dans La Voix du Nord le député a affirmé que l'homosexualité était "une menace pour la survie de l'humanité". Précisant sa pensée il poursuit quelques jours plus tard "Je n'ai pas dit que l'homosexualité était dangereuse, j'ai dit qu'elle était inférieure à l'hétérosexualité. Si on la poussait à l'universel, ce serait dangereux pour l'humanité. Il y a un modèle social qui est celui du mariage hétérosexuel et de l'éducation des enfants".
Le tribunal correctionnel de Lille s’appuyait sur la loi du 30 décembre 2004, fomentée par la Haute Autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité (HALDE) qui sanctionne de six mois d'emprisonnement et 22 500 euros d'amende les injures envers "une personne ou un groupe de personnes à raison de leur orientation sexuelle". La Halde, il faut le rappeler, compte parmi ses organisations consultatives le Mrap de Mouloud Aounit, individu voulant appliquer la charia ( il milite pour une loi anti-blasphème), qui a fait fuir nombre de ses collaborateurs en comparant Redeker…à Ben Laden.
Ainsi, ne pas mettre sur un même plan moral homosexualité et hétérosexualité est interprété comme une « injure » par le tribunal. On voit bien jusqu’où ce type de raisonnement spécieux peut mener : demain, refuser le mariage homosexuel et l’adoption d’enfants sera perçu comme une « injure homophobe », une intolérable discrimination. Christian Vanneste persiste et signe, il va se pourvoir en cassation. Selon lui, la décision de la cour d'appel de Douai "relève de l'exploit puisqu'elle condamne d'un coup Voltaire et Benoît XVI, pour une fois d'accord".
Lâché par Sarkozy, Vanneste ne sera pas réinvesti dans sa circonscription. Valérie Pecresse, porte-flingue de Nicolas Sarkozy a déclaré lundi 29 janvier, au micro de RTL: «La sanction la plus grave que peut encourir un parlementaire, c'est de ne pas être réinvesti » Sarkozy confirme le 31 janvier : « Je condamne fermement ce qu’il a dit. Je ne veux ni de près ni de loin être associé à des propos homophobes. »
Une fois de plus, Sarkozy est tétanisé par le politiquement correct de la gauche, et choisit le camp des folles de Act-Up plutôt que celui de sa famille de pensée. Cet épisode suffira-t-il à réveiller son électorat de droite encore une fois trahit ?
source:sarkopipo.com
Sarkozy gaulliste?
Sarkozy incarne tout ce que de Gaulle vomissait : le fédéralisme européen débouchant sur un super-Etat amputant les souverainetés nationales, la soumission à la politique étrangère américaine (cf : son avis sur la France « arrogante » à Bush en référence au discours de Villepin au Conseil de sécurité de l’ONU). Aussi, de Gaulle n'aurait jamais accepté la politique d'immigration massive de Sarko, ni surtout le CFCM ou le financement public des mosquées. Relisons Alain Peyrefitte dans son ouvrage « C’était de Gaulle » lorsqu'il cite le général:"Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront peut-être vingt millions et après-demain quarante ? Si nous faisions l'intégration, si tous les Arabes et les Berbères d'Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherait-on de venir s'installer en métropole alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ? Mon village ne s'appellerait plus Colombey-les-Deux-Églises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées ! ».
Cependant, il veut faire croire aux gogos qu’il est gaulliste. Sur son blog, il écrit sans rire : « Je suis gaulliste depuis l'enfance »…
Tous les gaullistes historiques encore vivant sont foncièrement anti-Sarko. Ils ont TOUS été contre la Constitution européenne, vache sacrée des cabris. D’Alain Griotteray au Général Pierre-Marie Gallois (grand stratège fondateur de la force de dissuasion française, considéré comme un des plus grands géopoliticiens au monde, ancien conseiller diplomatique de de Gaulle), tous deux anciens résistants. Le plus autorisé d’entre eux, Pierre Messmer, académicien, Président de l’Institut Charles de Gaulle, actuel Chancelier de l’ordre de la libération, avait clairement exprimé son NON à la constitution fédéraliste et euro-mondialiste, complètement contraire à la philosophie gaullienne de la souveraineté.
Jean-Paul Bled, président des Cercles Universitaires d'Etudes et de Recherches Gaulliennes (1973-1984) , directeur de la revue Etudes gaulliennes, est lui aussi farouchement opposé à l'Union européenne fédérale de Nicolas Sarkozy.
Paul-Marie Couteaux, meneur intellectuel du courant souverainiste, auteur du discours de Chirac à la présidentielle de 1995, a fait récemment une mise au point sur le cas Sarko :« Président fondateur du RIF que j'ai créé en 2002 après avoir quitté le RPF de Charles Pasqua, membre de l'Institut Charles de Gaulle, ancien directeur de la revue du RPR "Une certaine idée", j'appelle tous les Français fidèles à la mémoire et à l'oeuvre du général de Gaulle à dénoncer l'imposture de Nicolas Sarkozy : nulle voix ne doit se porter sur le candidat de l'insupportable, la relance de la "Constitution européenne", l'alignement sur les Etats-Unis, l'abandon des services publics et le renoncement à l'unité de la nation par un communautarisme généralisé qui signerait sa mort. »
Paul-Marie Coûteaux est actuellement conseiller politique de Philippe de Villiers et député européen MPF. Le seul Gaulliste candidat aux présidentielles est Villiers. Choisissez votre camp. La France ou le mondialisme.
Mensonges & manipulation à la sauce Sarko
Le tract ridicule de l'UMP sur l'immigration
Les nouveaux tracts de Sarko sont arrivés ! celui-ci a retenu l’attention de l’inspecteur Manchette. En effet, l’UMP se targue de ne pas régulariser les clandestins ( !).Mieux, le tract cite avec gourmandise le chiffre de « 80 000 clandestins régularisés sous le gouvernement Jospin ». Le ridicule ne tue pas, l’UMP a régularisé en 2003 20 744 clandestins, en 2004 22 814, en 2005 26 338, en 2006 les chiffres sont -encore- indisponibles mais il faut déjà ajouter les 7 000 familles de clandestins instrumentalisant leurs enfants scolarisés pour obtenir la régularisation. A raison d’une hypothèse basse de 2 enfants par famille, 21 000 personnes. Les chiffres proviennent du Secrétariat général du Comité interministériel du contrôle de l’immigration. Le total est donc de 20 744 + 22 814 + 26 338 + 21 000 = 90 896 sans compter l’année 2002 ! Soit plus que la gauche !
Aussi, il est important de rapporter les conclusions du rapport Castera, commandé par Sarkozy, ayant fait planché les experts de son ministère, qui élude : « L’immigration “choisie” ne se substituera pas à l’immigration “subie”, elle risque au contraire de créer une vague supplémentaire d’entrée d’immigrés qui ne seront pas à l’abri du chômage. »
En effet, Sarko ne veut pas revenir sur les 3 principales sources d’immigration : le regroupement familial ( 60% du total), le droit du sol (55 000 naissances annuelles d’enfants étrangers) et la politique laxiste en matière de visas (200 000 pour l’Algérie par an), 50% des clandestins (selon l’Intérieur) étant des individus ne repartant pas après l’expiration de leur titre.
Source:sarkopipo.com
Henri Guaino, ou comment faire un grand écart avec Sarko!
Henri Guaino, ce nom n’évoque pas grand-chose sinon rien chez les français. Et pourtant, cet homme est le nègre patenté de Sarko, écrivant ses discours, le conseillant sur le choix des mots qui feront mouche, adaptant chaque tirade aux différents auditoires : Pieds noirs et Harkis, ouvriers, immigrés, classes moyennes. Son profil est celui d’un homme de l’ombre, d’un régisseur habitué des coulisses du pouvoir. Cet économiste passé par Science-po Paris (qui rata l’ENA 3 fois), fut un compagnon proche de Philippe Séguin avant de se mettre brièvement au service de Chirac en 1995, inspirant l’idée de rupture…ça vous rappelle quelque chose ? Après le divorce Pasqua-Villiers, il participe à la création du nouveau RPF avec Pasqua. On l’a compris, ces 15 dernières années, Guaino suit une trajectoire unique : celle du souverainisme. Après avoir pourfendu le traité de Maastricht avec Seguin, raillé le franc fort puis l’euro fort avec Pasqua, conspué le mondialisme de l’OMC qui va ruiner notre agriculture et dénoncé l’Europe fédérale supra-nationale , Guaino rejoint un béni oui oui de Bruxelles et de l’OMC ! Tout comme Chirac, Guaino n’a pas peur des grands écarts idéologiques, des pirouettes opportunistes et des saltos arrières.
Comme l’a confié William Abitbol au Figaro « Guaino va à Sarkozy comme des lunettes à un canard ». son ami Frank Borotra renchérit « il est très difficile de concilier la France éternelle et l’euro-libéralisme ».
Source: sarkopipo.com
Musulmans en France: quel chiffres?
Quoiqu'il en soit ces Chiffres paraissent étranges lorsque l'on sait que déjà en 1994 un article du Monde évaluait les musulmans à «6,5% de la population française, soit 3,7 millions». En 1996, le Secrétariat des relations avec l'islam donne une estimation de 4,2 millions tandis que Charles Pasqua, ministre de l'Intérieur, s'exprimant à propos des attentats terroristes, évoque «5 millions de musulmans [en France], dont 1 million de pratiquants, 50 000 intégristes et probablement 2 000 radicaux».
Selon ce site "la France est le pays européen qui compte le plus de musulmans : environ 4 millions de personnes sont d'origine musulmane."
Reste à savoir quels sont les critères retenus pour définir qui est musulman ou pas en France. Faut-il inclure tous ceux qui font le ramadan et qui, dans cette période-là ne mettent pas les pieds dans une mosquée ou dans un lieu de culte? Une enquête de l’Ined de 1995 estimait qu’un tiers du nombre supposé de musulmans par la culture était pratiquant. Façon de réduire le chiffre...
Dans L'Express du 4 décembre 2003 intitulé "Les vrais chiffres de l'islam en France" on pouvait lire ceci:
Selon une étude réalisée par la démographe de l'INED, Michèle Tribalat, la population musulmane représenterait 3,7 millions de personnes, soit 6,5% de la population. Ce chiffre est très en deçà de ceux annoncés par les hommes politiques (4,2 millions et 5 en 1996, et 6 millions, il y a quelques jours par le ministre de l'Intérieur). Les personnes en âge de voter seraient de 1,2 millions, ce qui relativise la question du "vote musulman". Ce constat malmène donc quelque peu le consensus qui régnait sur cette évaluation et pose la question des enquêtes statistiques sur les pratiques religieuses. "Le manque d'informations ne concerne pas seulement les musulmans : nous ne connaissons pas non plus le nombre de juifs en France. Aujourd'hui, on avance à l'aveugle des chiffres compris entre 600 000 et 700 000 juifs. "La Croix" fait des enquêtes régulières sur l'affiliation et la pratique des chrétiens, mais nous ne savons rien des "nouveaux mouvements religieux", qui pourtant, défraye la chronique. Chacun plaide pour sa chapelle dans la plus totale méconnaissance" (Michèle Tribalat).Wikipédia rappelle que les chiffres annoncés doivent être pris avec précaution puisque "la loi Informatique et Liberté de 1978 interdit tout dénombrement dans les enquêtes officielles portant sur l’appartenance ethnique ou religieuse."
Addendum: comme toujours dans pareil cas, inutile de dire que la présence massive de clandestins d'origine musulmane sur le territoire français n'existe pas dans l'esprit des statistiques officielles...
Source: voxgalliae
L'escroquerie des sondages!
Source : www.politic-art.com
Jérôme RIVIERE invité politique d'Olivier MAZEROLLE sur BFM-TV
Politisation de l'Islam et abandon de nos valeurs fondamentales
"L'idée de vouloir greffer des cultures extérieures pour construire une juxtaposition d'alvéoles culturelles et une addition de mémoires particulières porte un risque pour la paix civile", dit le candidat souverainiste du Mouvement pour la France à l'élection présidentielle.
"C'est à l'islam de s'adapter à la France, pas le contraire", réaffirme-t-il, partisan "d'imposer des modes de vie compatibles avec notre corpus juridique et éthique si l'on ne veut pas demain accepter la répudiation, l'excision, ou la lapidation".
Il dénonce une nouvelle fois la politisation selon lui du Conseil français du culte musulman (CFCM), mis en place par le ministre de l'Intérieur et candidat de l'UMP Nicolas Sarkozy, et "regrette" que l'"on n'ose plus dire que la France est un pays judéo-chrétien".
Pour Philippe de Villiers, "notre société, depuis Mai-68, essaie de vivre dans une post-modernité en se coupant de ses valeurs fondamentales". AP
source : JPF 44
Faire respecter notre NON face au système ! - Edito de Paul-Marie Coûteaux
Conseiller politique de Philippe de VILLIERS,
Député européen.
Mardi 27 février, Bruxelles : Rencontré ce matin, à la buvette du Parlement européen deux collègues français, un PS, un UMP que par charité je ne nomme pas. Le premier me lance : "Vous n'aurez pas vos signatures, et JM. Le Pen ou Dupont-Aignan pas davantage. C'est désolant, mais les maires sont tellement lassés par les requêtes des uns et les pressions des autres que même certains élus socialistes refusent de parrainer Ségolène!" Ayant encore l'humeur à sourire, je propose en boutade une nouvelle révision constitutionnelle interdisant la candidature de quiconque s'est prononcé pour le "non" : on éliminerait ainsi le risque de voir élu un Président de la République qui prendrait la souveraineté nationale, donc la République, au sérieux. Intervient alors le député UMP, goguenard : " De toutes façons, vous ne faites que quelques pourcents, cela ne change pas grand chose..." Ainsi, pour cet élu UMP, 55 % des Français "ne change pas grand chose" ! Un peu gêné, il conclut : il y aura au moins deux candidats du "non" : Buffet et Laguiller !".
Il faut ronger son frein, se convaincre qu'il y a tant de bonnes volontés, à travers tous les départements de France, que Philippe de Villiers aura, lui au moins, les signatures requises. Mais comment se satisfaire de ce constat : il se trouve des élus pour envisager froidement que 20 à 25 % du corps électoral français (toutes les études sur le 29 mai démontrant que les "non" se répartissaient à égalité entre droite et gauche) n'ait aucun représentant à l'élection présidentielle. Encore ces candidats sont-ils systématiquement placés en situation d'infériorité par rapport aux deux ou trois personnalités bien aimées du Système, assurées de leurs parrainages, et prêtes à dire "oui" là où les Français ont dit Non -un Non pourtant emblématique et majeur, qui, à travers la dérive de l'Union européenne, a justement refusé le dessaisissement de la démocratie. En somme, c'est le coup d'Etat permanent.
De cela, il faut tirer les conséquences : le Président de la République que nous allons élire a pour fonction d'incarner l'unité de la nation, de protéger sa souveraineté, d'assurer le bon fonctionnement des services publics, en un mot de garantir l'autorité de l'Etat, par là du Bien commun, par là de la paix civile. Ces missions, il ne peut les remplir qu'à une seule condition: qu'il dispose d'une légitimité populaire forte, condition de toute action publique. Qu'elle vienne à disparaître, et c'est le corps social tout entier qui se délite. Or, la légitimité, procédant toute entière de l'élection au suffrage universel, est bien plus fragile qu'on ne le croit. Si le suffrage n'était plus universel parce que s'en trouverait d'emblée exclu le quart de l'électorat, ou si les abstentionnistes représentaient la plus grande partie des quelque 47 millions de Français en âge de voter, on peut être alors certain que le quinquennat ouvert en mai achèverait la République, la légitimité entrant dans une sorte de déliquescence en spirale, d'où pourrait surgir n'importe quelle violence, n'importe quel tremblement de terre. Tel est l'enjeu de l'incroyable partie qui se joue en ce mois de mars : le respect de l'électeur, ou le chaos.
Airbus, le symbole d’une Europe en panne... par Jérôme Rivière
député UMP,
Président du comité de soutien à Villiers,
La crise que connaît Airbus aujourd’hui trouve son origine dans trois erreurs historiques. Et c’est bien à celles-ci qu’il faut s’attaquer si nous souhaitons que ce rêve industriel ne se transforme pas en cauchemar économique.
1° Airbus souffre d’un Euro surévalué. Tant que le pouvoir politique ne sera pas en mesure de signifier à la Banque Centrale européenne que sa mission est aussi de favoriser la croissance, l’Euro restera surévalué. Cet état de fait limite nos exportations, incite les consommateurs comme les entreprises françaises à importer, et en bout de chaîne produit des délocalisations.
2° Airbus est une société du groupe de défense EADS. Pour lutter à armes égales avec Boeing, ce groupe devrait pouvoir bénéficier d’un soutien en matière de R&D (recherche et développement) à l’image de ce dont bénéficie son concurrent américain.
Hélas, c’est bien l’inverse qui se produit. 6 pays européens ont investi 4 milliards d’euros de R&D aux USA dans le développement d’un avion de chasse (le JSF35) dont l’objectif est de tuer la concurrence européenne. Nous devons mettre en place une préférence européenne sur le modèle du « Buy American Act » pour construire enfin une Europe qui protège.
3° Enfin il faut, en matière de décisions stratégiques pour l’entreprise, mettre un terme au dogme du 50/50 franco-allemand. Cette gestion politique - on voit Chirac et Merkel se mêler d’activités industrielles - conduit à ne pas voir émerger un seul patron pour l’entreprise. Dans le cas d’Airbus, le savoir faire, comme la majorité des financements sont français à travers la société Aérospatial. La parité avec Dasa avait été acceptée pour des raisons politiques qui aujourd’hui nuisent à la politique industrielle de l’entreprise.
"Si je vous dis...", le point de vue de Jérôme Rivière
Le président du comité de soutien à Philippe de Villiers, le député UMP Jérôme Rivière, répond à Nice Premimum.
Nice Premimum : Si je vous dis...
Ségolène Royal ?
Jérôme Rivière : "De la compassion sans aucun doute, mais pas de propositions concrètes pour faire sortir notre pays de l’ornière dans laquelle il est coincé."
Marie-Georges Buffet ?
JR : "Des idées qui peuvent paraître généreuses mais qui sont déconnectées de toutes les réalités économiques de notre pays."
Nicolas Sarkozy ?
JR : "Il nous dit qu’avec lui tout deviendra possible. Mais quand tout est possible, c’est que rien n’est choisi. Pourtant, la première qualité d’un homme d’Etat c’est sa capacité de faire des choix."
François Bayrou ?
JR : "Une analyse assez juste des dysfonctionnements de la société française. Des réponses inadaptées parce que le consensus ne peut pas être la forme de gouvernement d’un grand pays. Il n’est pas possible d’être d’accord sur tout."
Jean-Marie Le Pen ?
JR : "Des propositions courageuses, un positionnement politique invariable et clair, mais entachés par des dérapages inacceptables. Il n’a situé son action que dans la protestation, la politique c’est l’action."
Villiers sur la Toile, entrée dans le top 5
La justice dit NON à l'homoparentalité ! Jérôme Rivière
Le 20 février, la justice a dit non à l’homoparentalité. C’est ainsi que doit être comprise la décision de la Cour de cassation qui a jugé illégale l’adoption simple au sein de couples homosexuels, se fondant sur « l’intérêt supérieur de l’enfant ».
La décision de la Cour de cassation est très claire. Elle a interdit l’adoption simple d’un enfant par la compagne de la mère biologique, considérant cette adoption simple contraire à « l’intérêt supérieur de l’enfant ».
Quel bon sens !
Trop souvent des lobbies excités et excessifs, s’agitent pour exiger le droit à l’adoption, le droit d’avoir des enfants, sans une seule fois évoquer les droits des enfants !
Cette décision va faire jurisprudence.
Conformément à notre droit, elle n’empêchera pas les homosexuels célibataires d’adopter un enfant, mais elle interdit la constitution de « familles homosexuelles » avec un statut juridique.
J’ai déjà pu l’écrire, il ne me parait pas conforme à l’intérêt de l’enfant de permettre son inscription dans une filiation qui ne serait pas structurée sur l’altérité sexuelle des parents, et ce au risque de rendre sa généalogie incohérente et de l’exposer dangereusement à des difficultés d’identification et de structure de sa personnalité.
Nicolas Sarkozy reste sur ce sujet comme sur d’autres très ambigu puisqu’il promet d’assouplir les démarches, alors même que l’UMP est contre l’adoption pour les couples homosexuels !
Source: Site web de Jérôme Rivière
Patrick Louis sur France 3
Blog des Jeunes Pour la France de Lyon : http://jpflyon.hautetfort.com/
Site web du MPF Rhône : http://rhone.mpf-sudest.org/
Source: jeunesetpatriotes