mercredi 31 janvier 2007

Tariq Ramadan, ce dangereux caméléon...

Envoyé spécial s'est déjà penché sur Tariq Ramadan. Nous vous proposons de visionner le reportage. Ce personnage est très intéressant car il est très symbolique de la stratégie "pacifique" des islamistes qui veulent que l'Islam domine l'Occident à terme. Attention à ceux qui se disent "modérés"...




Historiquement correct, regard sur notre Histoire

C’est le titre qu’a choisi de donner Jean Sévillia à son livre, mais il aurait tout aussi bien pu s’intituler « Retour sur quelques pages d’Histoire française et européenne».

Si son but est de passer au tamis de la recherche les clichés d’aujourd’hui sur certaines époques de notre histoire, il n’en demeure pas moins que ce livre est une synthèse extraordinaire du résultat des dernières recherches historiques sur quelques périodes charnières. Celles-ci sont abordées dans des chapitres d’une trentaine de pages, ce qui donne la possibilité au lecteur de redécouvrir une histoire méconnue (on ne l’apprend plus à l’école en effet) sans y passer des heures. Les croisades, la Révolution, la décolonisation, l’affaire Pie XII… Ce livre étudie dix-huit point chauds de l’histoire française et européenne.

On peut entre autre y redécouvrir l’époque féodale, soit tout un pan de l’histoire médiévale qui nous est de plus en plus inaccessible. Et, fondée sur les conclusions récentes des meilleurs historiens, la redécouverte est bouleversante… et passionnante. « Forteresses sinistres, cachots humides, seigneurs pleins de morgue, peuple courbant l’échine »… Les clichés ont la vie dure. « Une caste cruelle qui asservit un peuple hébété par la peur, un univers de barbarie, c’est donc cela le Moyen-âge ? » (p.17). Et bien non, non et non, nous disent les historiens. On apprend que la Société féodale était aussi peu uniforme qu’elle était souple : « Le langage contemporain tend à classer dans la même catégorie vassaux, paysans et serfs. Or les nobles sont eux-mêmes des vassaux. Et si beaucoup de paysans sont des serfs [qui n’a rien à voir avec l’esclave], d’autres, locataires de leurs terres, sont tenanciers libres, et d’autres encore propriétaires. Hors du domaine royal, patrimoine du monarque, la terre, au Moyen-âge, peut donc être possédée par des nobles, par des communautés monastiques, par des citadins (habitant les villes et les bourgs, ils sont, au sens propre, des « bourgeois ») ou par des paysans » (p. 26).

En transposant dans le monde d’hier les critères de notre époque, l’historiquement correct mène inévitablement à des contresens historiques ou à des mensonges. C’est ce qui se passe quand la recherche historique est supplantée par l’idéologie. Contre l’historiquement correct, les historiens nous permettent de regarder notre propre histoire en face, et nous réapprennent à l’aimer.

Ludo

De la démocratie version poker menteur

2007, l’année de tous les défis, l’année de toutes les défiances. L’année qui verra peut-être le Peuple français sortir de sa torpeur, de ses angoisses, de ses chimères. Relevant le drapeau que l’on piétine sous ses yeux espérons qu’il s’en ira défier les fossoyeurs de la Nation, de la République, de notre économie, ne serait-ce que l’espace d’un vote. Et si nous assistions à des retrouvailles, celle de la France avec la Grandeur, celle d’une Nation avec sa destinée Universelle, celle d’une République avec ses devoirs de Justice et d’Egalité, celle d’une Société avec ses obligations de Solidarité et de Fraternité, celle enfin d’un grand Peuple avec son Histoire, son Patrimoine, ses Traditions. Plus qu’un nouveau rendez-vous électoral, l’élection présidentielle de 2007 devra être le moment où s’affirmera le choix du modèle de société que chacun désir pour l’avenir, le choix de chacun de défendre ou d’aliéner sa Souveraineté, acquise par le sang versé de générations de patriotes. Plus que jamais, les orientations politiques sont marquées et différentes. Autour de la table chacun des prétendants a son jeu bien en main, ses cartes bien rangées. Certains font minent de feinter, en jouant sur deux tableaux en même temps, un coup à droite, un coup à gauche. Gageons que personne ne sera dupe et que dans ce décor digne de de La Tour, nul tricheur, nul fossoyeur ne sortira vainqueur, de cette rencontre entre le Peuple et sa destinée.

Chaque candidat avance ses arguments, ses orientations, ses idées, à défaut parfois d’avoir un projet d’ensemble, une vision. Les médias audiovisuels, la presse, l’intelligentsia, sont embourbés comme toujours dans leurs stéréotypes, dans leur vision gauche, droite, UMPS, plutôt à gauche d’ailleurs. Par leur paresse intellectuelle, par l’absence d’un réel travail d’enquête, de comparaisons et de présentation « objective » et « égale », ils volent le premier tour de l’élection au Français en les enfermant dans une dialectique Sarko, Ségo. D’un coté l’euro-atlantisme béat et fourbe d’un Sarko qui danse plus souvent sur son pied gauche que sur le droit, de l’autre le socialisme ringard revisité par le marketing et les trous d’air permanents de Barbie au pays des Soviets, cette énarque qui nous réinvente chaque jour un nouveau mot, et qui ,à défaut d’avoir un programme, clame des louanges à la démocratie participative. Ces deux candidats étaient partisans du Oui à la Constitution Européenne, c'est-à-dire à l’abandon de toute souveraineté à terme sur les orientations politiques de la Nation puisque selon l’article 6, « La Constitution et le droit adopté par les institutions de l'Union, dans l'exercice des compétences qui sont attribuées à celle-ci, priment le droit des États membres ».

Schizophrénie ou stratégie politique dictée plus par les circonstances que les convictions, nul ne peut rester indifférent à ce paradoxe : pourquoi dépenser tant d’énergie à vouloir accéder au cockpit si c’est pour ce voir priver des instruments de commande ? Ambition personnelle… ? Pourquoi promettre tant de changements, à défaut de vraies réformes, si c’est pour ensuite ne pas pouvoir les réaliser (ex : TVA dans la restauration)? Manipulation du peuple, malhonnêteté intellectuelle et morale, discours compassionnels à l’extrême où la réalité s’efface au profit d’un conformisme naïf et faussement bienveillant, la démocratie est tombée bien bas dans notre pays. Pour répondre aux défis futurs, trois éléments clés devront être pris en compte sans détour démagogique : l’identité nationale (qui et que somme nous), la souveraineté nationale et populaire (le cadre politique), la République (une et indivisible, ou bien communautariste de Sarkozy et de Royal).

Pour vous inviter à poursuivre la réflexion, je finirai par cet extrait des Mémoires de Guerre du général De Gaulle, ce serviteur éternel de la Patrie. « Toute ma vie, je me suis fait une certaine idée de la France. Le sentiment me l’inspire aussi bien que la raison. Ce qu’il y a en moi d’affectif imagine naturellement la France, telle la princesse des contes ou la madone aux fresques des murs, comme vouée à une destinée imminente et exceptionnelle. J’ai, d’instinct, l’impression que la Providence l’a créée pour des succès achevés ou des malheurs exemplaires. S’il advient que la médiocrité marque, pourtant, ses faits et gestes, j’en éprouve la sensation d’une absurde anomalie, imputable aux fautes des Français, non au génie de la Patrie. Mais aussi, le côté positif de mon esprit me convainc que la France n’est réellement elle-même qu’au premier rang ; que, seules, de vastes entreprises sont susceptibles de compenser les ferments de dispersion que son peuple porte en lui-même ; que notre pays, tel qu’il est, parmi les autres, tels qu’ils sont, doit, sous peine de danger mortel, viser haut et se tenir droit. Bref, à mon sens, la France ne peut être la France sans la grandeur. »

Par delà les discours pénitents des moralisateurs repentants, chaque Français devra regarder le moment venu le visage de cette « princesse » d’un jour, de cette « Joconde » de toujours, Lumière des Nations. De cette rencontre intime naitra le choix du futur Président, cet ambassadeur de la grandeur de la France par delà l’horizon de nos frontières, ce perpétuel défenseur de la Souveraineté nationale et populaire; ce chef enfin, qui de la majorité qui l’aura porté à la magistrature suprême devra réaliser l’unité de la Nation pour œuvrer à de « vastes entreprises », et écrire les prochaines pages de la glorieuse Histoire de France.

Flavien B.

Fond d’investissement, une arme à double tranchant

On prétend que les délocalisations constituent un remède nécessaire à la survie des entreprises. Les salariés du fabricant de collants Well, racheté en 2001 par un fonds d'investissement, ont entendu aussi cette ritournelle ; leur usine a été fermée et l'entreprise délocalisée en Asie en 2006. Ils ne sont pas dupes, comme tous les salariés des 5000 entreprises françaises (dont 80% sont des PME de moins de 500 salaries) contrôlées par des fonds d'investissement. En réalité, ces fonds mettent en œuvre des placements; les investissements bénéficient a leurs mandants et non aux entreprises.

En effet il faut rappeler que ces fonds sont des organismes de détention collective d'actifs financiers. Ils émettent auprès des épargnants (ou mandants) des titres de propriété sous forme d'actions, qui représentent une part de leur portefeuille. Les sommes colossales ainsi collectées servent parfois acheter de simples parts minoritaires du capital d'entreprises. Ce premier type de fonds investit dans de jeunes entreprises innovantes. Cette participation génère de la croissance et des emplois en rendant plus solides ces entreprises et en leur permettant de se développer. Mais les fonds d'investissement les plus actifs rachètent en totalité des entreprises pour les revendre trois à cinq ans plus tard avec une forte plus-value. Une simple analyse du montage financier utilise par ce second type de fonds révèle le cynisme de l'investissement opéré.

La technique du leveraged buyout (LBO), ou rachat par effet levier, permet aux fonds d'emprunter aux banques la majorité du prix d'achat de l'entreprise. Ce sont les profits de cette dernière qui financeront la dette d'acquisition. Dès lors l'entreprise se retrouve à devoir payer son capital au lieu d'en disposer. Si les profits qu'elle engendre ne couvrent pas ces emprunts, une course à la réduction drastique des coûts s'engage.

Mais des résultats supérieurs aux dettes ne sauveront pas nécessairement l'entreprise ; véritable dindon de la farce, ses performances augmentent sa valeur et donc son prix de vente. Juteux profit en perspective pour le fond propriétaire qui, avec une faible mise initiale, empochera l'intégralité du prix de revente. Rachetée par un autre fond d'investissement, souvent d'ailleurs étranger, l'entreprise est entrainée dans un cercle infernal où le projet d'entreprise se résume à la plus-value future engrangée par le fonds et ses épargnants.

On nous chante la rigueur, l'efficacité et les résultats atteints par ces entreprises; primo ce n'est pas toujours le cas, certaines comme Well périclitent. Secundo cette fameuse progression du chiffre d'affaire est purement artificielle car vouée à servir un projet de placement à court terme, sans aucune volonté de pérennisation. Qui aurait l'idée de faire produire à des vignes, en trois ans, l’équivalent de vingt ans de récoltes au risque de les rendre stériles ? Sûrement pas un vigneron attaché à ses terres, après avoir investi dans son entreprise ses propres fonds, sa sueur et la fierté de la transmettre aux générations futures.

Le mode de fonctionnement de certains fonds d'investissement met ainsi en évidence la nécessité de protéger les PME françaises, qui à elles seules regroupent 4/5ème des emplois. Il s'agit pour cela d'instaurer une règlementation minimale des fonds et une protection nationale via l'affirmation du patriotisme d'entreprise. L'actionnariat salarié par exemple doit être développé, ce que soutient par ailleurs l'Association Française des Investisseurs en Capital (AFIC), qui voit en cette mesure un moyen de restaurer l'image des fonds d'investissement et de désamorcer la grogne des syndicats. Protéger le travail français tout en pratiquant le libre échange n'est pas contradictoire. Des grands Etats, tels les USA ou la Chine, protègent leurs secteurs stratégiques. Il est grand temps que la France en fasse autant et favorise son tissu économique national grâce au patriotisme économique et à l’actionnariat salarié.


Florence F.

mardi 30 janvier 2007

Communautarisme islamique, la preuve par les images: ouvrez les yeux!

Le communautarisme islamique s'étend en France un peu plus chaque jour. Nos élus se taisent, d'autres sont déjà "islamisés". Il est temps de réagir.
Afin de mieux comprendre l'inquiétude qui est la nôtre, nous vous proposons un retour en arrière de 3 ans. C'était le 12 février 2004, "envoyé spécial" diffuse un reportage intitulé "Trappes à l'heure de la prière". Trois ans ont passé..


L'islamisation de la société, l'exemple de Trappes

Quand l'UMP joue le jeu du communautarisme islamique contre la République

Le blog Sarkopipo.com nous apprend que Hubert FALCO, ancien sous-ministre des personnes âgées, sénateur, président du Conseil général du Var et président de la fédération varoise de l'UMP n'était pas le seul responsable du parti sarkozyste à se presser à une conférence de l'islamiste Tariq Ramadan organisée par l’association islamique « jeunesse 83 ». On dénombrait au moins deux députés UMP, Geneviève Lévy et Philippe Vitel, lors de la conférence organisée par Tariq Ramadan au Palais Neptune à Toulon, samedi 13 janvier dernier.

Sarkopipo.com nous rappelle que Tariq Ramadan est le petit fils de Hassan al-Banna, fondateur des Frères musulmans (1928), dont il revendique et défend l’héritage. Hassan al-Banna qui énonçait dans la charte des Frères musulmans : " Par sa nature, l'Islam tend à dominer, à imposer sa loi à toutes les nations et à étendre son hégémonie sur la planète toute entière[…]les prescriptions de l’islam embrassent la totalité, elles comprennent les affaires terrestre aussi bien que celles de l’après […] l’islam est foi et culte, patrie et citoyenneté, religion et Etat, spiritualité et action, livre et sabre"

A noter aussi que Tariq Ramadan a préfacé le recueil de fatwa du cheik Yussuf Al-Qaradawi, qui est favorable (cf le licite et l’illicite, éditions AL-Qalam, 2001) à l’extermination des homosexuels, au meurtre des apostats et au battage des femmes. Qaradawi comme Ramadan ont donné des conférences aux meetings de l’UOIF, filiale française des Frères musulmans.

> Cette complaisance de membres de l'UMP avec Tariq Ramadan est un symbole fort supplémentaire qui inquiète beaucoup les jeunes patriotes sur les intentions du candidat Nicolas Sarkozy en ce qui concerne l'avenir de l'Islam en France. Après avoir mis en place le Conseil Français du Culte Musulman (qui est un Etat dans l'Etat) avec des membres de l'UOIF connus pour leur affiliation idéologique avec le mouvement des Frères musulmans Nicolas Sarkozy s'est prononcé en faveur du financement des mosquées par les contribuables français.

Source: sarkopipo.com, l'excellent Inspecteur Manchette

Immigration : Le directeur de l'INED reconnait la substitution de population

Par le conservateur, Lundi 29 janvier 2007 à 14:07 -

Venu faire la promotion de son nouveau livre "le temps des immigrés" samedi 27 janvier dans Soir 3, François Héran, le directeur de l'Institut National d'Etudes Démographiques a annoncé le remplacement à terme de la population française par une population d'immigrés, si rien de change. Un entretien très intéressant et révélateur à plus d'un titre, qui s'en prend à plusieurs mensonges.

Les mensonges tombent, mais sans que cela ne dérange personne, et en premier lieu les menteurs eux-mêmes, politiques intellectuels et journalistes . Rappelons-nous qu'il y a deux ans à peine, un politicien en vue comme Jack Lang pouvait affirmer impunément qu'il "n'y a pas autant d'immigrés que cela". Deux ans plus tard, le directeur de l'INED en personne vient nous expliquer que dans un horizon de 100 ans, il ne restera peut être plus de français de souche de type blanc, et son corollaire mécanique : notre culture aura disparue. En effet jamais l'histoire n'a montré d'exemple de populations conquérantes adoptant les moeurs et la culture des "vaincus".

Mensonge numéro 1 : "Il n'y a pas tant d'immigrés que cela"

Partons du constat suivant : 17% des naissances actuelles ont lieu dans des familles originaires d'Afrique, du Maghreb et de Turquie. Ce chiffre est sous-estimé puisque les mariages mixtes ne sont pas pris en compte.

Or selon le directeur de l'INED, malgré le petit bonus de naissances en 2006, la tendance lourde veut que le potentiel de naissances futures diminue, ce qui entraînera mécaniquement la primauté de l'immigration dans la croissance de la population.

La posture de Mr.Héran est habile, il se borne à constater un déséquilibre et prend acte des tendances actuelles. Il appelle les politiques à préparer l'opinion publique à cette substitution de population.

" on ne peut pas prévoir l'immigration de demain (mais) la place de l'immigration sera plus importante que maintenant " " il y aura de plus en plus de décès, et il y aura moins de naissances car il y aura moins de femmes en âge d'avoir des enfants, du coup le solde naturel énorme, le record qu'on vient de battre, 300000 naissances de plus que de décès, va fondre, va disparaître, et l'immigration sans le vouloir, sera en première ligne de la croissance de la population française. Je trouve que le débat politique ne nous prépare pas du tout à cette idée. "

Mensonge numéro 2 : l'immigration choisie de Mr Sarkozy constituerait une solution

Au passage, le directeur de l'INED s'en prend à l'immigration choisie chère à Nicolas Sarkozy, et qui lui permet de leurrer certains électeurs.

Mr. Héran s'est élevé contre l'idée que "l'immigration pourrait devenir secondaire dans la croissance de la population française, par exemple en privilégiant une immigration choisie au lieu d'une immigration subie. Cela ne marche pas, car l'immigration familiale, l'immigration d'asile restent très importantes, qui accompagnent l'immigration de travail même sélectionnée."

Mensonge numéro 3 : les politiciens ne serait pas "myopes", et ne feraient pas tout pour masquer le débat sur l'immigration

Quid du métissage, cher à Sarkozy & Royal :

" Le brassage va continuer, ce n'est pas que je sois pour ou contre, c'est une question objective : l'immigration deviendra le premier moteur de croissance, alors forcément le brassage va progresser, et rien ne l'arrêtera, donc il vaut mieux s'y préparer que d'essayer de nier la réalité.

" le débat politique n'envisage pas du tout ce qui va se passer d'ici une génération, ce qui me frappe beaucoup dans l'ensemble du débat politique, c'est qu'il est assez myope de ce point de vue là. Le rôle du démographe n'est pas du tout d'interpeller les candidats ou de commenter l'élection présidentielle, mais c'est d'essayer de faire en sorte que le regard puisse se porter plus loin, et essayer de faire en sorte qu'on puisse prendre en compte les données démographiques de base, les grandes lames de fond qui définissent la dynamique de la population. "

Notons face à lui le journaliste immigrationniste qui en introduction prétend que l'immigration constitue donc la solution au vieillissement. Les journalistes font de l'éditorial, tout va bien, nous sommes sur France 3.

En conclusion, on peut répondre à Mr. Héran, lorsqu'il parle du caractère inéluctable du phénomène. Il nous appartient de sauver notre héritage et notre culture, sans s'occuper des exhortations des pères la-morale du soit disant anti-racisme qui mentent depuis des décennies, ce que Mr.Héran sous-entend dans son discours. Par ailleurs, balayons le présupposé que la population ne devrait pas décroître. Il vaut mieux quelques générations d'hiver démographique que la catastrophe culturelle qui nous attend, quoi qu'en pense le MEDEF.

Rappelons que protéger sa culture n'est pas raciste, et que ce droit est même inscrit dans les chartes de l'ONU. La solution ? Mr.Héran l'esquisse lui-même : il faut stopper le regroupement familial et réformer le droit d'asile. D'autre part, il faut revoir à la baisse les politiques familiales qui constituent finalement un appel d'air pour les immigrés.

Message à caractère informatif, et à destination des électeurs : "Ceux qui ont des oreilles pour entendre, qu'ils entendent".

Source: Le Conservateur

Philippe de Villiers répond à Marianne 2007

lundi 29 janvier 2007

"Ils ont l'argent qui vous fera taire, vous et toute la classe politique française"

"Vous ne direz jamais, vous aujourd'hui, au Roi d'Arabie Saoudite, que ce qui est en train de se passer dans son pays est absolument inadmissible et comme vous l'avez dit barbare, vous savez pourquoi? Parce qu'ils ont l'argent qui vous fera taire, vous et toute la classe politique française"

Tariq Ramadan


Ripostes, face à Philippe de Villiers - Dimanche 28 Janvier

Françaises, Français, le combat de Philippe de Villiers contre l'Islamisation de la France est un enjeu majeur de l'élection du Président de la République. Il s'agit de défendre notre civilisation judéo-chrétienne gréco, romano-latine, contre une minorité d'intégristes islamistes qui diffusent dans notre société le totalitarisme islamisque.

Quelques élements de réflexions:
  • Les grands boulversements de l'Histoire sont toujours le fait de minorités, à l'origine.
  • Les grands changements civilisationnels sont toujours dûs à de profondes mutations démographiques.
  • Aucune Peuple ne peut faire face à l'adversité s'il a en soit une profonde haine de soi, et un rejet de son identité.
... tirez-en les conclusions qui s'imposent.
Philippe de VILLIERS
était l'invité de
Ripostes sur France 5
Dimanche 28 Janvier
Emission spéciale
Invités: T. Ramadan, E Guigou

Télécharger la vidéo


dimanche 28 janvier 2007

Le bilan chiffré de Sarko à l'Intérieur (2005)


Bravo à toute l'équipe de l'Inspecteur Manchette, pour ce véritable travail d'investigation, enfin digne de vrais "journalistes". Régalez-vous !

medium_Sarkoflic.jpg

186 000 titres de séjours de plus d’un an distribués aux étrangers en 2005.

7% seulement des 186 000 titres de séjours allèrent de paire avec un contrat de travail en 2005. (5% en 2004)

75% des titres de séjours sont distribués à des non européens

150 000 naturalisations d’étrangers en 2005.

49% des 150 000 naturalisations proviennent des trois pays du Maghreb, selon l’Intérieur.

55 000 naissances issues de parents étrangers bénéficiant du « droit » du sol, permettant à ces derniers de rester définitivement sur le territoire, soit 165 000 personnes.

600 000, c'est le nombre de clandestins franchissant les frontières françaises (Dom-Tom inclus) chaque année, selon un rapport du Sénat (n°300 série 2005-2006)

36 milliards d’euros, c’est le coût annuel des colonies étrangères installées en France selon l’économiste Jacques Bichot du Conseil Economique et Social. Etude présentée à l’Institut Géopolitique des Populations en 2004, censurée par les médias.

36 milliards d’euros c’est aussi -coïncidence fortuite- le déficit public de la France en 2006

50 milliards d’euros, c’est le coût global annuel des étrangers présent en France en 2005 selon une autre étude, menée par l’économiste de l’université de Princeton, Gérard Pince, expert au sein du FMI et de la Banque Mondiale.Pour la même année, Pierre Milloz, Inspecteur général dans l'administration dont les études furent couronnées par la chancellerie des Universités de Paris (Prix Deschanel) et à deux reprises par l’Académie des sciences morales et politiques (prix René Cassin, prix Lucien Dupont), arrive aux mêmes conclusions quant au coût exorbitant des populations allogènes, net de leur contribution à la société via impôts bien entendu.

300 millions d’euros, c’est le coût de la prise en charge des immigrés clandestins dans des hôtels.

40% des 250 000 étudiants étrangers qui quittent l’université sans licence.

8000 euros, c’est le coût pour l’Etat de la scolarité d’un étudiant étranger

178 689 , c’est le nombre d’étrangers (souvent illégaux) qui ont bénéficié de l’Aide médicale d’Etat en 2005, soit des soins gratuits sans ticket modérateur, à la différence des milliers de familles françaises modestes qui payent le ticket modérateur.

7000 euros. C’est le cadeau de Sarkozy aux étrangers Maliens pour les inciter au retour. La prime précédente au retour s’élevait à 3660 euros, Nicolas Sarkosy , en doublant la mise, voulait « multiplier par dix » le nombre de retour annuels au pays. Mais l’incitation au retour fit choux blanc : 120 bénéficièrent de l’offre en deux ans et demi, sur 120 000 Maliens résident en France, dont 60% de façon illégale.

0 . C’est le nombre de clandestins Maliens que Nicolas Sarkozy a renvoyé en 2005. Lors de son voyage au Mali en mai 2006, Nicolas Sarkozy annonçait fièrement à ses hôtes « je vous mets au défi de dire qu’il y a eu le moindre charter vers le Mali depuis quatre ans ».

73 000. C’est le nombre de reconduites à la frontières prononcées par la justice en 2005. Sur ce nombre seuls 19 849 clandestins ont été reconduits, soit 27% seulement.

80 000 familles polygames, à la charge du contribuable.

3,83% d’augmentation des violences envers les personnes, selon les chiffres de la direction générale de la police nationale (DGPN) en 2005.

7% d’augmentation des violences envers les personnes en un an ( base août 2006)

10% d’augmentation des violences gratuites en un an (base août 2006)

62,2% des jeunes judiciarisés sont étrangers ou d’origine étrangère, selon le sociologue vedette des médias Sébastian Roché

8,9% d’augmentation du nombre d’agressions perpétrées contre des usagers des transports publics urbains (hors RATP et SNCF), en 2005.

3, c’est le nombre d’organisations islamistes tolérées au sein du Conseil Français du Culte Musulman (CFCM) . Soit le Milli Gorus, le Tabligh, et surtout l’UOIF, branche française des Frères musulmans

[ndlr: Financement public des mosqués... la preuve par le chiffres:]

4 millions d'euros, c'est la valeur des 8000 m2 de terrain offerts aux musulmans Marseillais pour la construction d'une gigantesque mosquée avec minaret, octroyé par le maire UMP jean-Claude Gaudin

420.000 euros, c’est la subvention du Conseil régional d’Alsace UMP à la grande mosquée de Strasbourg

506 000 euros, c'est la subvention du Conseil général du Bas-Rhin UMP alloué à la grande mosquée de Strasbourg

276 000 euros, c’est la subvention de la Mairie UMP de la Rochelle à l’agrandissement de la mosquée.

702 342 euros, c’est la subvention de la mairie UMP de Torchon pour construire une mosquée

24 000 euros, c'est la subvention de la mairie UMP d'Asnières de Manuel Aeshlimann, directeur marketing de Sarkozy, allouée à l'association musulmane ACEA

20 000 euros, c'est la somme que Maire UMP Jean Luc Moudenc a dépensé pour acheter un terrain destiné à être rétrocédé aux musulmans pour la construction d'une mosquée

2.000, c’est le nombre de mètres carrés offerts aux musulmans par la mairie UMP de Muret, pour une mosquée

500 , ce sont les mètres carrés de terrain acheté par la mairie UMP de Carrières sur Ouche pour la construction de la future mosquée.

liste non exhaustive

A part ça, Sarko ne serait pas communautariste...

Travail de recherche effectué par Sarkopipo.com

Sarko est centriste, votez à droite...

Source: l'excellent sarkopipo.com

Le modèle économique vendéen, prospérité & enracinement


«Si une élection présidentielle se faisait sur les résultats, laissez-moi vous dire, qu’en Poitou-Charentes, ils seraient derniers, et en Vendée, nous serions premiers». Car le modèle économique vendéen est une réussite, Bruno Retailleau, Sénateur de la Vendée et premier vice-président du Conseil général, en est convaincu. «Et les recettes de cette réussite sont simples : la PME familiale et patrimoniale qui a gardé le goût du risque et de l’innovation, petites entreprises dans lesquelles les bénéfices sont mis au service de l’investissement». Et Bruno Retailleau de remarquer que si la prospérité des entreprises ne fait plus aujourd’hui la prospérité des nations, la Vendée connaît la situation inverse : «l’entreprise y est proche des ses salariés, elle évolue sur son propre territoire».


Paul-Marie Coûteaux
Député Français au Parlement Européen
Conseiller politique de Philippe de Villiers


Rapatrier le pouvoir en France

Le député européen, auteur de «Etre et parler Français», et désormais conseiller politique de Philippe de Villiers a appelé les Français à «rapatrier le pouvoir, et le recréer de toutes pièces, en arrachant les souverainetés confisquées par les féodalités et les hégémonies en tous genres». «Angela Merkel veut relancer le processus constitutionnel européen, a dénoncé le député, balayant d’un revers de main le choix du peuple français». Le député européen a par ailleurs invité les Français à lire le dernier ouvrage de Philippe de Villiers «La France qui gagne», pour y découvrir ce que «peut l’action publique quand elle est dans les mains d’un homme d’action, un homme qui défend le Bien commun».

"La solidarité est une relation de visage à visage."

«La Vendée, premier département pour le logement social, 76% des vendéens sont propriétaires de leur logement, 85% des personnes âgées qui souhaitent rester à domicile reçoivent les aides dont elles ont besoin pour leur permettre de maintenir cet équilibre... : le département de Philippe de Villiers est devenu une terre «d’innovation sociale», car la réussite économique profite à tous».

Véronique Besse, député (MPF) de la Vendée et vice-présente du Conseil général a présenté les principaux axes de la politique sociale menée dans son département. «Ne pas laisser se développer la logique de guichet et de l’assistanat, celle du don sans accompagnement, car la solidarité n’est qu’une relation de visage à visage». Pour Véronique Besse, voilà le secret de la réussite sociale vendéenne. Le département a été classé par l’Express premier pour l'accueil des familles et pour l’accompagnement des personnes âgées et des personnes handicapées. «Le social, c’est la personne unique et non la prestation uniforme» a déclaré le député vendéen. Visionnez le discours de Véronique Besse lors du meeting de lancement de campagne :


Véronique BESSE à la Mutualité
Source: Jeunes & Patriotes

Les excès de pouvoir de Bruxelles dénoncés

40 professeurs d'Université ont jeté un pavé dans la mare en publiant il y a un mois une lettre ouverte au Président de la République (ici, deuxième partie de la page). Ils mettent en garde contre une dérive normative communautaire "gravement attentatoire à la démocratie puisqu'elle retire aux législateurs nationaux tout pouvoir". Ces professeurs mettent en garde contre une "entreprise qui, par sa portée, dépasse en gravité tous les excès de pouvoirs auxquels, hélas, les autorités communautaires se sont désormais habituées." :

"Dans une démocratie organisée selon les principes de l'Etat de droit, une règle n'est légitime que si elle émane d'une autorité investie du pouvoir de l'édicter. [Or] comme on l'enseigne aux étudiants de première année des facultés de droit, sinon déjà aux collégiens dans leurs cours d'instruction civique, ce n'est qu'à cette condition qu'elle est une règle de droit et mérite donc obéissance".

Evoquant un "excès de pouvoir manifeste" de la Commission de Bruxelles, ils préviennent qu'

"ils ne pourront plus longtemps se résoudre à se déshonorer, dans leurs écrits comme dans leurs enseignements, en affectant de tenir pour du droit ce qui n'en est évidemment pas."

Ils demandent en conclusion au Président de la République de "rappeler aux institutions de l'Union européenne que le Traité CE ne lie la France que tel que le Conseil constitutionnel en a autorisé la ratification et non pas tel qu'elles veulent le comprendre".

Source: Le Salon Beige, par Michel Janva


samedi 27 janvier 2007


Philippe de VILLIERS
était l'invité du
88 minutes de Direct 8
- Samedi 27 janvier -



Invités:
  • Philippe de Villiers, député européen, président du Conseil général de la Vendée, président du Mouvement Pour la France, candidat à la présidentielle, auteur de "La France nous manque", Ed. du Rocher
  • Eric Branca & Arnaud Folch, journalistes, auteurs de "Le mystère Villiers", Ed. du Rocher
  • Jean Teulé, dessinateur-écrivain-homme de télé, auteur du Magasin des suicides (Ed. Julliard).
  • Pierre Lunel, président de l'Université Paris-VIII (Vincennes-saint-Denis), délégué interministériel à l'orientation, auteur de Fac : "Le grand merdier" Ed. Anne Carrière
  • Valérie Charolles, philosophe et haut fonctionnaire, auteur de "Le libéralisme contre le capitalisme", Ed. Fayard

La Vendée, laboratoire de la France qui gagne

Jérome Rivière (UMP), président du Comité de Soutien de Philippe de Villiers

C'est désormais officiel. Le député UMP des Alpes-Maritimes, Jérôme Rivière, a choisi de soutenir la candidature de Philippe de Villiers lors des prochaines élections présidentielles. Il prendra à cette occasion la Présidence du Comité de soutien à Philippe de Villiers. C'est un choix fort et courageux qui fait souffler un vent d'espoir parmi les adhérents et sympathisants de l'UMP qui se sentaient pour le moment contraints de voter pour Nicolas Sarkozy lors des prochaines élections pour faire gagner la droite. Aujourd'hui, c'est clair, les français vont avoir le choix entre 2 droites de gouvernements : - La droite américaine, communautariste et mondialiste de gouvernement incarnée par Nicolas Sarkozy. - ou la droite patriotique de gouvernement incarnée par Philippe de Villiers. Les adhérents de l'UMP n'ont peut être pas eu le choix entre plusieurs sensibilités lors du congrès du 14 janvier dernier mais dans les urnes le 22 avril ils pourront trancher et voter pour l'homme qui incarne la vraie droite et non pas la droite molle qui se soumet régulièrement à la pensée unique de la gauche.

Jérôme Rivière rejoint Philippe de Villiers comme Président de son Comité de soutien :

" Comme près d’un tiers des militants de l’UMP, j’ai choisi de ne pas apporter mon soutien à la candidature de Nicolas Sarkozy. En effet, je ne partage pas l’ambiguïté de son discours qui cache mal l’absence de fermeté de sa politique. Cette ambiguïté le conduit à faire de plus en plus de concessions graves aux idées de la gauche : suppression de la double peine, vote des étrangers, refus de réformer l’Aide Médicale d’Etat, adhésion au principe du droit opposable au logement...

Ambiguïté parce que nous n’avons jamais eu, au sein de l’UMP, de débat réel sur les valeurs que nous voulons défendre dans cette campagne. Si tout est possible, c’est que rien n’a été choisi. L’heure n’est plus aux promesses de campagnes électorales sans lendemain, mais aux projets courageux pour réformer notre pays.

Ambiguïté sur son discours pour l’Europe. Il assure avoir entendu les Français, mais il annonce qu’il demandera un vote du Parlement pour faire adopter un mini traité constitutionnel, sans préciser son idée sur les frontières de l’Union Européenne, ni sur les demandes multiples d’adhésions nouvelles, comme celles de l’Albanie, de la Bosnie ou de la Croatie.

Aussi, conscient des enjeux de cette élection, j’ai décidé de soutenir la candidature de Philippe de Villiers que je rejoins pour cette campagne comme Président de son comité de soutien. J’ai fait ce choix comme député adhérent de l’UMP.

Philippe de Villiers s’est clairement engagé contre le communautarisme qui remet en question l’identité de la France. Il inscrit son action dans une vision nationale au sens où l’entendait l’Académicien Ernest Renan « une grande solidarité, constituée par le sentiment des sacrifices qu’on a fait et de ceux qu’on est disposé à faire encore », et refuse les solutions hypocrites comme l’immigration choisie ou la discrimination positive.

Le premier, il a soulevé le problème politique posé par l’Islam en France, et le renoncement à la laïcité auquel nous conduirait une modification de la Loi de 1905 tendant à faire financer des mosquées par l’argent public de l’Etat.

En matière d’immigration, Philippe de Villiers s’est clairement engagé à mettre un terme au regroupement familial ainsi qu’aux financements des soins pour les étrangers en situation irrégulière (AME).

Loin des slogans de la génération 68, il est le seul adversaire résolu de la culture de l’excuse et de la démission des élites. Avec lui, les Français pourront refuser le divorce d’avec notre mémoire collective, et nous cesserons enfin de nous excuser d’être nous même.

De nombreux adhérents de l’UMP espèrent ou attendent encore une autre candidature, pour faire vivre le débat à droite, et pouvoir voter en conscience.

Cette candidature je l’affirme, c’est celle de Philippe de Villiers, et je les appelle à nous rejoindre nombreux pour faire gagner la droite et ses idées."

Presse : Le Figaro
source : http://www.jerome-riviere.fr/



Bravo pour votre courage M. le député, Jérôme Rivière. Espérons que d'autres suivront votre exemple et se joindront à Philippe de Villiers, candidat de la Droite Patriotique de Gouvernement.

Editorial de Paul-Marie COÛTEAUX : "Les élections sont supprimées"

Paul-Marie COÛTEAUX est conseiller politique de Philippe de VILLIERS, écrivain, et député au Parlement européen.


C'est un tour de force que le système politico-médiatique a réussi l'an dernier en désignant deux "ouiouistes" comme seuls candidats admis au second tour de l'élection présidentielle. Il ne s'agit plus en somme que de choisir entre un "ouiouiste" démocrate-social et un "ouiouiste" social-démocrate. Le Sarko-Ségo est le nouveau lego donné en pâture aux citoyens pour qu'ils puissent faire joujou, sans incidence sur l'essentiel, la souveraineté nationale et populaire, que le Système parvient à éroder année après année.

Tour de force en vérité : voici ainsi supprimé simultanément le référendum - puisque l'on nous dit, et de verte façon par la bouche d'Angela Merkel, que le processus constitutionnel va être relancé sous présidence allemande (!), comme si de rien était, comme si rien ne s'était passé le 29 mai 2005, et quelques jours plus tard aux Pays-Bas. Tombé aussi, le premier tour de l'élection présidentielle puisque, jusqu'à l'ouverture officielle de la campagne du moins, deux seuls candidats accaparent tous les journaux, tous les tuyaux médiatiques quels qu'ils soient, réduisant les autres au silence, les disqualifiant d'avance - cela quelle que soit leur capacité de mobilisation populaire comme on le vit samedi dernier lors du meeting de Philippe de Villiers à la Mutualité, dont il fallut tôt fermer les portes pour raisons de sécurité, la salle étant pleine à craquer.

Et ce n'est pas tout ! Le quinquennat, et quelques tripatouillages de calendrier aidant, les élections législatives suivent immédiatement la présidentielle en sorte qu'elles ne laissent d'autres choix aux électeurs que de neutraliser le Président à peine élu, ou le confirmer en lui donnant une large majorité, ce qui brouille leur choix. En somme, plus de référendum, plus de premier tour de l'élection présidentielle, plus de législatives ouvertes ! Ne restent que les deux gros partis, ou plutôt un parti unique à 2 branches dont les dernières consultations ont pourtant montré qu'il ne représente même pas le quart du corps électoral réel - tous les Français de plus de 18 ans, soit 48 millions de personnes environ.

Il n'y a plus qu'une chance pour sauver la démocratie : voter pour l'un des candidats réputés "petits", alors qu'ils représentent les aspirations profondes d'à peu près 75 % des Français. Mais la bataille est dure et le traitement réservé à Philippe de Villiers montre que le Système est capable de tous les coups, de toutes les ruses et de toutes les manipulations pour faire taire la voix des Français : un doux totalitarisme s'installe, tandis que la démocratie s'évapore sous nos yeux.

Nous vous invitons à lire le dernier livre de Paul Marie-Coûteaux : Être et parler français

Source: Jeunes et patriotes

« Il n'y a pas de limite à la volonté humaine lorsqu'elle s'établit sur le sentiment d'appartenance »

Clip Vendée terre de tous les succès
envoyé par Philippe_de_Villiers

Clip diffusé lors du meeting de la Mutualité à Paris.

source : p2v.fr

Villiers, le choix des convictions & de l'action

Clip VILLIERS 2007
envoyé par Philippe_de_Villiers

Clip diffusé lors du meeting de la Mutualité à Paris.

source : p2v.fr